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Les performances

Les performances se jouent avec les artistes complices de la compagnie dans des musées, des jardins, des espaces naturels, et bien d’autres lieux encore. Chaque performance est unique et conçue spécialement pour le lieu et le contexte, et peut être adaptée en fonction de la demande.

 

Certaines performances s’orientent sur la relation :

- danse et musique (avec Barre Phillips, Lê Quanh Ninh, Lionel Garcin, la compagnie Barre Phillips)

danse et musique : avec Michel Doneda, Fillipo Morino, Catherine Jauniaux, Cristina Negro

- danse et chant (avec Catherine Jauniaux, Caroline Duval)

- danse et poésie (avec Olivier Debos, Marc Alexandre Oho Bambe, Anna Pietsch)

- danse et installation plastique, végétale, sonore (avec Véronique Pépin, Rita Bagha, Isabelle Sordage)

- danse et cirque ( Alma Palacios, Océane Pelpel, Pierre Bertrand, Inbal Ben Haim, Eva Luna Fratinni et les stagiaires de la formation professionnelle des arts du cirque de piste d’azur).

 

et des performances de danse (Julyen Hamilton, Anna Pietsch, Kirstie Simson, Emmanuelle Pépin)

Les performances ci-dessous ont été données pour des occasions diverses : inauguration, exposition, évènement muséal, festival des jardins, festivals de danse et musique, festival poésie, festival de petite enfance, centre d’art, colloques, conférences, et dans des lieux spécifiques. Elles peuvent être jouées de nouveau dans d’autres contextes.

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Dé-racinement

Durée : 50 minutes

Sous forme de tableaux de 5 à 10 minutes pour l'exposition "Devenir fleur" au Musée d'art moderne et contemporain de la Ville de Nice (mars 2022)

 

C'est un regard posé et incarné sur l'exposition "Devenir fleur", sur la force de vie qui se dégage inéluctablement de toute espèce : végétale, animale, humaine, sur les cycles, les transformations et mutations, les extinctions, les exils. La programmation de cette performance, Dé-Racinement, inititialement programmée dans le cadre de la journée de la femme et proposée par le MAMAC, met en lumière la rencontre de deux femmes-artistes, Emmanuelle Pépin et Amal Alnabwany.

Elles dévoilent là leur différence, leur sentiment d'exil, mais aussi ce que le lien fort à la nature suscite chez elles. Lien à la terre d'origine. Elles s'attardent sur deux espaces de l'exposition. L'un donnant à voir des photographies où l'homme révèle à la fois la beauté de la nature en y déposant sa trace, ou encore où son regard saisit la survie d'espèces végétales ayant résisté à Tchernobyl. Puis un espace où l'oeuvre de Fatma Barak s'expose : une installation de roses de Damas dans un amas de terre, c'est le fruit d'un périple d'un réseau d'anonymes fuyant la Syrie en y amenant une bouture de ces rosiers que la guerre a saccagé. Chaque rosier est planté ou greffé dans l'espace du musée. Force de la survie mise en nue.

Cette performance donne lieu à l'expression par le geste radical de la danse, par le mot. Des poèmes engagés sont donnés à entendre, comme celle de Régina Jose Galindo ainsi que Wafai Laila qui nous a offert un poème.

Cette performance sera donnée à Paris courant 2024.

Dé-racinement
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Outre nuit

Danse et poésie

Durée : 45 minutes 

Jouée dans le cadre du festival Eurydice à Cabasse (sept 2022) et à nice au Studio antipodes dans le cadre des transversales

 

Invitée à plonger dans l'oeuvre d'Echo-Emues, je me suis laissée (m')égarer dans un labyrinthe incertain, insondable, énigmatique. Un outre-nuit d'avant le mot, et, dans "l'instant apparu", je me suis laissée traversée par la fulgurance d'un geste.

Alors, le mot peut-être se nomme là ? Descendre à Eurydice, c'est être bougée, dansée, remuée véritablement et viscéralement par une vaste connaissance, re - connaissance - errance - évidence.-Expérience-s "de l'incertain cohérent" mené par Thierry Gianarelli, entrainée par le flux vivant d'une écriture poétique incarnée, entre fable, mythe, fantasia, savoirs, citations, observations, réflexion, recherche.

Outre-Nuit
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Rabia ou Rage

d'après l'oeuvre de Régina José Galindo Danse et Poésie avec Emmanuelle Pépin et Laurent Bouisset (lecture)

Durée : environ 50 minutes 

 

"La poésie de Regina heurte, saigne, crie, pleure, hurle dans les entrailles et dans la terre frappée par les hommes. Mon corps ne peut ignorer la puissance des mots, ma peau frémit, mon coeur gémit, mon geste jaillit, cru, dans la simultanéité de la voix, ici, d un homme assis, Laurent. Celui qui a su se saisir de la langue espagnole pour tenter au mieux de nous la restituer dans la langue française. Mais au delà du sens, il y a la vie d'une femme guatémaltèque, la vie d'un peuple meurtri et aguerri qui transpire dans chaque mot, dans chaque silence."

Emmanuelle Pépin à propos du livre "Rage / Rabia" de Regina José Galindo traduit par Laurent Bouisset (aux éditions des Lisières)

Rabia ou Rage

Il est des rencontres percutantes qui impriment en soi un sentiment de liberté, de responsabilité et un face à face avec le monde. Remerber Nature ne pouvait que résonner dans mon parcours artistique. Mais comment, face à une oeuvre si détonante, trouver une place ? J'ai choisi d'établir un dialogue entre l'essence des œuvres de Gustav Metzger et la présence des corps dans l'espace, en tentant de laisser apparaitre une radicalité de notre humanité. Quel avenir pour la planète  face à l’irresponsabilité de l’homme.

J'ai réuni ici des artistes de danse, de cirque, qui, jour après jour, années après après, oeuvrent pour que leur geste soit l'essence même de ce qui les anime, de leur regard sur le monde ".

Remember nature, 
autour de l'oeuvre de Gustav Metzger
Remember nature
autour de l'oeuvre de Gustav Metzger
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Emmanuelle et Véronique ont ce lien de parenté qui les unit et les ont amené depuis la petite enfance à dessiner ensemble un parcours artistique atypique. Complicité de sororité, complicité de sensibilité, elles créent toutes les deux un art de l'Instant, un art éphémère, basé sur l'acte de présence, et l'écoute de ce qui se manifeste entre soi et le monde, dans cet espace-entre.
Un espace large, vivant, vibrant, espace de rencontre et de dialogue silencieux entre notre monde intérieur et le monde extérieur. 

Chacune d'elles oeuvrent plus particulièrement avec leur langage artistique respectif : arts plastiques et danse, à révéler l'espace plus qu'à s'y imposer, mais l'écriture, la poésie, la photographie font parties intégrantes de leur mise en oeuvre.

 Ensemble, elles affirment un art commun : celle de la poésie de l'Instant, d'une performance "architecturale en mouvement" crée à chaque fois, unique, pour l'espace qui les invite. 

Là, elles sculptent cet espace, le révèle en complémentarité avec ce qu'il est déjà . Elles offrent un regard poétique, esthétique et contemporain, par un acte créatif en résonance avec le lieu même. Selon le contexte, l'inspiration et ce que le lieu suscite, les propositions artistiques peuvent prendre la forme d'une oeuvre végétale, olfactive, sonore, picturale et chorégraphique.

Soror
Soror
The matter of time

"La préhistoire n'est pas une science exacte", disent les historiens,et les scientifiques.

Il y a le savoir, toutes ces connaissances, il y a les suppositions, les interprétations, il y a l'intuition, il y a aussi la mémoire génétique et phylogénétique que nos cellules détiennent, il y a notre curiosité, il y a aussi notre imagination, notre fantaisie créatrice.

C'est ici un croisement de tous ces éléments que la Compagnie 7pépinière déploie au travers de performances, de recherches sur la phylogenèse.

Comment nos gestes se sont construits, d'où viennent ils ? Comment porter notre écoute sur cette mémoire si lointaine, cette première cellule qui porte une part de cette grande histoire de l'humanité et qui porte aussi une part d'inconnu.

Le projet « the matter of time » réunit des artistes de danse, de cirque, de la musique, mais aussi des sophrologues et chercheurs.Il peut se jouer dans les musées de la préhistoire,les sites historiques, les galeries d’art, les centres de recherches d’anthropologie et de sociologie.

The matter of time
L'écho des silences

« l’Écho des silences » est un espace de résonance attentif sur lequel s’appuie Emmanuelle et Véronique Pépin, artistes contemporaines (chorégraphe - performeuses - plasticienne) pour écouter, sentir, saisir la force des silences dans des œuvres d’art. C’est dans l’immersion d’un espace muséal qu’elles expérimentent cette écoute intuitive.

 

Saisi d’un questionnement sur l’espace entre, elles mettent en œuvre un travail de fond, d’écoute et de recherches, pour tenter de mettre en lumière les œuvres du musée en écho d’une expression artistique contemporaine.

 

La contemplation comme action, ce temps accordé au saisissement des œuvres, de l’architecture du musée, du passage humain devient mise en œuvre artistique, performances-installations,conférences et ateliers, visites guidées.

 

Cette mise en forme rassemble le savoir faire, l’expérience et la complicité des deux sœurs et offre un autre regard sur des œuvres exposées.

 

"L'écho des silences" a retenu l'attention et a été sélectionné pour être la première résidence de création dans un musée National "le musée Camille Claudel" à Nogent sur Seine en mars 2018


 

"Que nous dit en silence l’œuvre et le lieu qui la porte ?

Comment écouter cet improbable qui pourtant nous parvient.

L'écho des silences

Le passage du temps sur l’œuvre nous traversent,

dans le corps dansant, le corps en écoute - en présence."

Marche Passe et Repasse
par Emmanuelle Pépin et Olivier Debos

Une composition instantanée précipitée et urgente sur la fuite en avant. "Chacun s’en va comme il peut, les uns poitrine entrouverte, les autres avec une seul main, les uns la main sur l’épaule, les autres sur l’épaule d’un autre” Roberto Juarroz

Ailleurs, vers l’inconnu, traversées, circulation, passages.

La marche. Un acte simple, inné, qui nous est donné dès notre naissance pour tenter, au fil du temps, de nous tenir debout. Sur notre verticalité. Debout et avancer. Plus loin, devant. Peut être reculer parfois, ou marcher à côté, de travers, en marge. Mais marcher tout de même. Un temps. S’installer là dans l’inconfort. Trouver sa place dans cette instabilité. L’inertie peut-être de la traversée. L’inertie peut-être de nos racines déracinées. Longs filaments qui nous retiennent, nous attachent. Nous détachent. Nous arrachent. Nous libèrent. Pour faire de nous des étrangers. Des nomades sur une route inconnue. Des sédentaires mal à l’aise.

Marche Passe et Repasse
Voyage immobile

Un lavoir, une installation « Mouvement » de Véronique Pépin, plasticienne.

Tel un vaisseau immobile, le lavoir n’est plus ce qu’il était dans le Jadis. Pourtant les voix silencieuses y résonnent encore, le drap blanc frappé s’entend dans un froissement lointain, un lavoir aux fils tendus, que des bateaux de tissu ciré, en fragile équilibre viennent osciller.

Ici, l’immobile, là bas, l’étendue, vaste, en mouvance. mer et montagne se rassemblent là en un large mouvement. J’ai choisi d’inviter toutes les 20 minutes quelques spectateurs à entrer dans ce lavoir ; je m’y pose, ils sont là. Le silence m’invite .              le silence les invite.

La matitude du son, l’opacité de la lumière diaphane gris blanc, le grain de la peau, l’écoute d’un geste qui arrive de cette immobilité latente.

Cette installation performance est donnée dans les lavoirs

Voyage Immobile
Empty space

un trio avec Kirstie Simson, Anna Piestch et Emmanuelle Pépin

Nous développons notre travail sur l’espace entre, le vide, le silence.

Empty space
Parure

Ècorces, graines,cuir, perles, coquillages, deviennent là des parures.

Bijou, carapace, artifice, ornement, amulettes, rituel, sacré ?

Seconde peau

la peau recouverte de matières végétales

Créature(s) - La parure, déjà là, dès le début des Temps.

"Parure", ce sont ces bijoux éphémères, réalisés par Véronique Pépin, dont je me sers ici pour constituer la danse, le geste si ancien de se parer. Cette performance peut être donnée dans des galeries d’art, des bijouteries, des musées.

Parure
Bodies#

Performance sur ce rapport du corps en résonnance avec un espace. Corps matière- corps paysages- corps squelettique, organique – corps énergétique – corps espace – corps usé –corps naissant - corps vivant – corps mort – corps immobile – corps mobile – corps objet – corps sujet –

Bodies#
Kintsugi

Au japon, il existe un art qui consiste à réparer les porcelaines et céramiques brisées au moyen d'une laque saupoudrée de poudre d'or. On appelle cela kintsugi. L’idée est de prendre en considération l’historicité de l’objet et de lui offrir une nouvelle vie, sans chercher à le reproduire tel qu’il était. Mais de le rendre beau de part cette renaissance. Kintsugi est ma toile de fond pour créer cette performance. Les blessures seront là le prétexte à être en écoute autrement. Toucher peut-être l'étendue d'une immobilité, l'habitat d'un silence, l'apparaître d'un mot.

Cette performance peut être accompagnée d'une rencontre autour de la résilience, et sur les blessures et transformation du corps suite à des maladies, accidents, traumatismes.

Kintsugi
La chair du monde

Proposition d’une installation nommée « Jaillissement » et d’une performance. La Chair du monde est une expérience sensorielle, perceptive invitant le public à déambuler au coeur d’un univers proche de celui de l’expérience du sommeil.

(installation végétale, sonore, et plastique)

Voir site internet dédié ! 

La chair du monde
La pluie la délave là

Danse et chant, mouvement et mot,

Catherine Jauniaux et Emmanuelle Pépin s’amusent ensemble à composer une pièce où les sons et les mouvements s’accordent, se distordent, s’éloignent, s’espacent, s’élancent, s’écoutent.

La pluie la délave là

C’est une performance pour et avec des personnes non-voyantes.

Elle invite à percevoir le geste, le déplacement des corps et du son, les fragrances d’une installation végétale, un partage entre danseurs, musiciens, plasticiens et personnes atteintes de cécité visuelle.

La lumière obscure
La lumière obscure
Collée

Spectacle-performance et bal pour bébés, en partenariat avec la Cie B, Caroline Duval et Emmanuelle Pépin proposent là une performance pour les bébés, où le chant et la danse s’appuient sur le développement du bébé, et sur la séparation avec un parent, un doudou, une nounou, un objet, un lieu. Elles invitent progressivement les bébés à entrer dans l’espace scénique et à participer.

Un bal final est donné avec tout le public.

Collée
Amour(s)

Issues d’une récolte étendue (qui peut aussi se faire en amont auprès de la population du quartier) de lettres d‘amour reçues, imaginées, espérées,

jamais envoyées, nous donnons une forme poétique à ces confidences. La danse, l’écriture et la poésie sont ici l’incarnation de ces lettres.

 

« J’ai cousu ici des manteaux de papiers avec ces lettres, ces mots. Je m’en enveloppe. Le papier est si fragile que chaque mouvement devient précieux, crissant de délicatesse. Pourtant, si le papier se déchire par un mouvement trop intense, alors le manteau sera re schotché par du gaffeur sur lequel est écrit « fragile ». Ce sont ici comme des cicatrices pansées. Le manteau, les manteaux se transforment au fil des performances ».

 

Des pans de papiers sont tendus dans l’espace, des pierres de papiers sont disposées ça et là dans l’espace. On peut même marcher dessus, ou les contourner. Sur ces pierres, sur ces pans, sont inscrits ou vont s’inscrire des mots. Avec les soeurs « Pépins ».

Amour(s)
La forêt des signes

des soeurs Pépins, et performances danse et musique avec des musiciens de la scène improvisée. Spectacle chorégraphique et végétal dédié à la Nature .....Conception : Les Pépins.

Danse : Emmanuelle Pépin et d'autres performers selon les lieux

Scénographie et composition végétale : Véronique Pépin

Création lumière : Fritz Reinhart

La forêt des signes est un spectacle où la danse, la création végétale, la musique et la lumière sont interprétées en composition instantanée. Un spectacle unique, selon le lieu, dont « les Pépins » s’inspirent pour vous offrir toute leur poétique.  

La Foret des Signes se distingue, se transforme au gré des voyages :  en France, en Hongrie, en Turquie, aux Etats Unis. « La forêt des signes », un univers onirique et poétique symbolisant les forces originelles de la vie et la fragilité de notre éco-système. Un dialogue charnel de la Nature et de la nature humaine. . La danse prend ici sa source au cœur du vivant. Une danse organique, sensitive et charnelle qui s’imprègne de l’esprit végétal… ».

Déjà joué à Nice Acropolis 06 en scène, Saint Laurent du Var, Boston green street studio, Istanbul, Uschichar Transit festival Turquie, Earthdance festival Seeds Natur, science and dance of Massachusetts, Budapest, Siofok Hongrie.  Nous vous proposons de nous contacter pour obtenir les tarifs et fiches techniques

La forêt des signes
Saisons

C’est une série de performances s’appuyant sur le cycle et l’état des saisons dans le corps, cycle du corps , et cycle de la nature. La danse et l’installation végétale, plastique en est ici un témoin, une expression vitale. Avec Emmanuelle Pépin. Elles peuvent se jouer les unes à la suite des autres, ou ponctuées dans le temps, à chaque saison sa performance. 

Saisons
Les corbeaux

Deux artistes improvisateurs danse-voix, Anna Pietsch et Emmanuelle Pépin, sont ici des personnages vêtus de noir, qui viennent donner, par l’immobilité, le geste et la voix, une autre lecture d’oeuvres installées dans la galerie. Nous nous appuyons ici sur l’essence perçue de l’oeuvre. Ce n’est pas une narration.

Les corbeaux
Du geste ordinaire au geste extraordinaire

Que contient le signe, le geste usuel, le mouvement quotidien ?

Comment le mouvement dansé peut s’amuser à le dé-construire, reconstruire, le dépouiller, le dévoiler, le dénoncer, le soustraire à son contexte, l’élargir, l’anoblir, l’avilir, l’associer, le dissocier, etc…

Avec Emmanuelle Pépin.

Du geste ordinaire au geste extraordinaire
Carol's Dream

Duo Barre Phillips et Emmanuelle Pépin Spectacle danse, musique

création lumière : Fritz Reinhart Suite à leur rencontre autour du travail de Julyen Hamilton, Emmanuelle Pépin, Barre Phillips et Fritz Reinhart, se trouvant voisins (83 – 06), commencent à travailler ensemble – des concerts dansés improvisés (Festival Densités, Bibliothèque Nucéra à Nice, Abbaye du Thoronet) en trio.


Rencontre des générations où se trouvent ensemble une légèreté en profondeur, un sens de l'humour et une maitrise technique et compositionnelle qui se complètent pour donner un spectacle à ne pas manquer. Déjà joué à Fresnes en Woevre festival densité, Nice bibliothèque Nucéra. 

Carol's Dream
Mysteries

Quels sont tous ces gestes qui arrivent ?  que contiennent-ils ?  Je ne cherche pas de réponse car je préfère garder le mystère. Et pourtant, je leur reconnais parfois un morceau de mon histoire, ou l'histoire d'autrui, ou des mémoires anciennes, ou peut-être  tous ces livres, tous ces lieux, tous ces paysages, toutes ces rencontres, ces créatures, ces mythes, tout ce tout ...ce tout connu, familier, inconnu, insoupçonné. Chaque geste, surgit, au creux de l'écoute, dans l'instant. Un moment fulgurant, porteur du passé, du présent, du futur. Je continue donc à révéler ce que je ne peux pas saisir, le mystère. "Mysteries" est une performance où je questionne le corps "le geste", ainsi que ce curieux passage et dialogue entre un geste ordinaire,  quotidien à un geste extraordinaire, insoupçonné.

Mysteries
Hors d'ambre 
ou après la forêt

avec Anna Piescht et Emmanuelle Pépin

 

Cette performance en mouvement d’une extrême lenteur donne à voir toute cette ancienne et puissante grande Histoire, que chaque homme, depuis des millions d’années, traverse, transportant avec lui la cellule de la vie. Chaque micro mouvement dévoile cette poussée, où nous croisons l’état cellulaire, animal, végétal et humain. Une seconde peau d’argile recouvre les corps presque dénudés des deux performeuses, offrant alors la fragilité et la force d’un geste, dans toute sa « cruauté », beauté et historicité. Le sol est ici jonché de terre et végétaux, sur une surface à déterminer selon les possibilités du lieu. Les corps sont comme intégrés, issues des matières présentes.

Hors d'ambre 
ou après la forêt
Variables aléatoires

avec Emmanuelle Pépin et Isabelle Sordage

L’installation propose ici une architecture sonore sous la forme de panneaux vibratoires ou/et sonores, offrant toute une trajectoire de lignes, de points, d’ondes longitudinales sonores, se jouant d’avec la présence en mouvement. La performance s’établit sur ce dialogue dans l’espace entre Isabelle Sordage et ses architectures sonores et Emmanuelle Pépin et le déplacement architectural du corps dans l’espace en lien avec le son.

Les tableaux sonores peuvent rester dans l’espace et deviennent un espace d’écoute se jouant d’avec le déplacement des visiteurs. Variables aléatoires 0.1 s’est jouée sous forme de performance et conférence pour les rencontres « Good Vibes » à Clans, et à la fondation Vassarely. Elles ont été exposées au centre d’art contemporain de Carros. www.atelier-experimental.org

Cette pièce peut être jouée dans les centres d’art contemporain, galeries, écoles d’art, et lieux s’intéressant au son.

Variables aléatoires
Jardins intimes

une histoire de portrait auto-biographique

Il est un monde, unique et immense, à l’intérieur de soi. Un monde intérieur qui résonne dans le monde extérieur ; un large battement. Un dialogue dedans dehors dehors dedans. Nos rêves, nos fantaisies, notre imaginaire, notre poésie, notre sensibilité, notre histoire sont autant de paysages intérieurs, qui nous offrent un regard unique et universel à la fois sur le monde. Les gestes ici en découlent. Jardins intimes est une performance qui peut etre jouée avec des amateurts de tous genres et tous âges, qui offrent à partager un portrait de chacun. Ils sont élaborés à partir d’un « questionnaire «  que chaque individu prend le temps d’écrire. Cette écriture nait d’ateliers d’écriture, et surtout d’exploration par le corps. Le corps étant là l’accès à l’intime, à la réminiscence des mémoires, à l’imaginaire.

Jardins intimes
Surfaces _ Traversées

des soeurs Pépins, une installation-performance, conçue comme une chambre de résonance. C'est une évocation sensorielle. Quelle serait l'odeur d'une oeuvre? L'invisibilité de l'odeur et la plasticité des corps et des objets sont autant d'évocations à une exposition temporaire. ( crée pour le Musée Camille Claudel, exposition temporaire "A Rebrousse Temps").

 

Surfaces - Traversées
Duo musique et danse

avec Michel Doneda, Emmanuelle Pépin. Qui a entendu et vu Michel Doneda n'ignore pas son engagement et sa radicalité implacable dans son jeu. Ici, Emmanuelle Pépin et Michel Doneda s'amusent radicalement ensemble.

 

Duo musique et danse
Paysages

notre paysage intérieur résonne du paysage exterieur et vice versa. J'observe au travers de mes voyages les différents paysages. Je m'y pose, m'y dépose discrètement, et dans le regard vers ce monde, je l'écoute. Mon attention se transporte dans l'infini petit vers l'infini grand. Je passe du grain à l'étendue, du détail à la globalité, expansion-concentration-dilation-réduction. Phénoménal. Je laisse mon corps procéder à cet état des lieux, qui s'inscruste dans mes cellules et font de mon corps un nouveau paysage, nourrissent mon geste de chaque lieu contemplé. 

Paysages
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